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Louise, l'atelier(suite)
25 janvier 2013

Rythms

LOW DOWN

La nuit, le jour, et puis ça recommence. Avoir du mal à se lever le matin, ne pas dormir la nuit. Le fracas du monde qui résonne en soi, les pensées disruptives, et les étoiles qui meurent…les yeux qui vertigent, la peau frémissante, et malgré tout le temps qui passe et la nuit qui s’en va…comment pourtant résister au temps qui remue en soi et à ce qui palpite ? La nuit appelle la vie appelle

 

HIGH DOWN

Et que tout s’accélère, en soi et en dehors de soi, les battements du monde qui résonnent dans le corps, vibration vive, rapide, effrayante parfois, les mouvements qui se précipitent, les lumières qui se précipitent et se fragmentent, les yeux qui vertigent, les pulsations désordonnées/s’accorder au rythme interne, externe, et respirer lentement, paupières fermées, comme surveiller d’un œil le temps qui passe, la vie qui va…et le murmure des vaines obscurités. La vie appelle et piège

 

HIGH SPEED

Est fait de fulgurances et de disruptions si fortes que l’écran mental se vide, comme si toute pensée disparaissait ou était vouée à disparaître, il ne se passe plus rien, mais que s’est-il passé ? La plainte est inaudible et lancinante, elle crève l’écran vidé / fait effraction, il y a effraction sur toute la largeur de la page de la feuille de l’image, on ne sait pas si ce qui est perceptible apparaît ou disparaît, n’est saisissable que dans l’éphémère, et l’éphémère lui-même devient insoutenable, perforation de la durée, brisée, et avancer sur les brisées

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